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Le cannabis une alternative aux traitements médicamenteux
La santé devrait, dans nos sociétés modernes être une priorité d’ordre publique et dépourvu de tout objectifs mercantiles. Pourtant, phagocyté par les groupes pharmaceutiques, la logique de marché prémunis désormais dans un domaine dont la matière première se trouve être tout simplement la santé de la population mondiale dans son ensemble.
Ainsi, lorsqu’il existe des alternatives viables, naturelles et bon marché aux médicaments qui engendrent des bénéfices records, il n’est pas étonnant de voir les lobby pharmaceutiques faire tout en œuvre pour les discrédités. Heureusement, il existe encore des études et des revues scientifiques objectives qui découvrent voir même réhabilite des traitements et des plantes tombés en disgrâce.
Le cannabis par exemple à été utilisé dans d’innombrable cultures à travers le globe et ce depuis la nuit des temps. Son utilisation n’a été prohibée que depuis le début du vingtième siècle principalement suite à des accusations fallacieuses du secteur cosmétique qui ne voyait pas d’un bon œil ce concurrent direct à leur production de coton.
C’est ainsi que débuta une guerre stupide, aveugle et meurtrière qui fit son lit des préjugés et de la manipulation d’opinion et envoya des milliers de personnes derrière les barreaux d’une prison lorsque ce n’était pas tout simplement au fond d’une tombe. Un des nombreux effets pervers de ce conflit sans frontière, fut la criminalisation de l’usage médicinal ancestrale de cette plante. Le malheur des uns faisant le bonheur des autres, cela arrangeait les affaires des sociétés pharmaceutiques qui pouvaient écouler leurs produits traités auparavant a l’aide du cannabis. Ce n’est donc pas une surprise de voir ces mêmes compagnies s’inquiéter de l’intérêt grandissant autour de l’usage médicale de cette plante.
En effet, malgré la confusion que font encore beaucoup de personnes avec son usage récréatif, un nombre important de composants du cannabis peut être utilisé dans le domaine de la santé. Beaucoup d’entre eux commence a peine à révéler leur potentiel. Par exemple, le cannabidiol ou CBD, un cannabinoïde ne contenant pas de THC (la molécule qui procure les effets psychoactifs). Ce que ne réalise pas le grand public, c’est l’alternative que représente le cannabis face au risque qu’engendre les médicaments prescrits sur ordonnance. En Grande-Bretagne seulement on estime à plus d’un million les personnes dépendante au anti-douleurs et tranquillisants. Au États-Unis leurs usages fait chaque années des ravages, un exemple édifiant parmi d’autres est celui du Vioxx, un anti-douleurs, dont plus de soixante mille personnes ont étés victimes.
La liste des médicaments dont le cannabis pourrait être une alternative ou utilisé comme complément à une médication moins lourde semble infinie. Dans ses usages les plus courants on pourrait l’utiliser pour combattre l’insomnie, des études démontrent son efficacité dans ce domaine. Ses vertus pour traiter l’anxiété sont également connues et ce n’est là que le sommet de l’iceberg. On pourrait également citer son usage comme anti-douleur, anti-dépresseur, pommade anti-inflammatoire, ses promesses pour aider les personnes atteinte de cancer, d’épilepsie, de la maladie de Parkinson, etc. Les recherches sur le sujet n’en sont qu’à leurs débuts et, débarrassées de tout aspects mercantiles, leurs résultats ne pourront qu’être bénéfique aux patients du monde entier.
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